Histoire

C'était pour tout les admins des forums qui ébloquent pour leurs dire qu'il vallait pas inquiétéer

Recrue Nombre de messages : 46 Date d'inscription : 18/04/2006

ah okai

bon voila j'ai décidé de me lancé!

Amélia/Thyni : identiques

Prologue :

An 2222 alors qu’une nouvelle air commence une nouvelle race naît : Les clones….La cause de leurs existences ? Un virus a ravagé pendant un siècle l’espèce humaine. Les enfant mourrait vers l’ages de 1 ans ….très peu survivait… Il n’y avait plus qu’une seule solution. Les clones. Ces êtres identiques a leur géniteur étaient surdéveloppés des compétente physique et une intelligence sans égale… Mais cela ne va pas sans problème. Les clones devenaient de plus en plus bizarre de plus en plus menaçant.

Chapitre 1 :

Dans une pièce sombre meublé simplement d’une armoire et d’un bureau ainsi qu’une table de nuit. Une petite fille de 4 ans était assise sur un lit et lisait. La fillette avait de grands yeux sombres, ses yeux exprimaient une tristesse et une haine indescriptible. Quelques instants plus tard une jeune femme entra, la fillette releva la tête et la regarda un moment de ses yeux ombreux avec un reflet insistant .La femme soupira et alla s’asseoir près de la gamine.
« Allons-y Thyni le médecin nous attends.
L’enfant ne murmura que quelques mots.
-maman… »
Quelques minutes plus tard Thyni et sa mère était dans la voiture. La fillette regardait la route droit devant eux d’un regard vagues et perdu. La voiture s’arrêta devant un grand bâtiment blanc avec marquer hôpital. L’enfant et la mère descendirent de la voiture silencieusement. Arrivé a l’accueil une jeune infirmière les interpella.
« Madame Amélia Kuroda ! Thyni seras dans la salle 10 pour examen complait et monsieur Mokié souhaiterait s’entretenir avec vous après le test.
-bien dites-lui que j’y serais. »
Arrivé a la salle 10 Amélia entra dans la salle avec sa fille et la déposa sur un lit l’embrassant sur le front .Puis elle partit. Monsieur Mokié arriva peut de temps après. C’était un homme grand et musclé avec un air déterminer. Puis une série de test commença pour Thyni.
Une heure trente plus tard Amélia revint chercher sa fille .Monsieur Mokié s’approcha d’elle et lui murmura quelques mots, Amélia hocha de la tête affirmativement. Monsieur Mokié s’approcha de la fillette et lui fit une prise de sang, une larme roula sur le long de la joue de la fillette. Un peu plus tard dans le bureau de monsieur Mokié.
« Thyni représente-t-elle les symptômes ?
-Non, Il semblerait que l’enfant échappe à toutes signification.
-Mais alors pourquoi continué ces tests pourquoi faut-il la faire souffrir ?
-Pour nous assurer que rien de grave ne lui arrive. »
Bientôt la mère et l’enfant repartir de l’hopital

c'est ma premiere histoire donc soyer simpas!

C'est génial il faut que tu continues.Moi j'attends vivement la suite :D
Je rajoute un petit texte que j'ai écrit.

Eternal Love

Ce matin je fut réveillée par les rayons du soleil. Mon dos se déroula lentement un peu douloureux à force d’être resté courbé toute la nuit. Il faut dire aussi qu’un bureau n’était pas le meilleur endroit pour dormir. Ma nuque crispée était crispée par la fatigue, mais elle se détendit au contact de tes doigts. Un instant je cru l’apercevoir mais ce n’était encore que le fruit de mon imagination. Tu posas un baiser sur mes lèvres ce qui me sortit de mes pensées. J’ai prolongée ton baiser tendre mais qui à la fois me laissais un coup amer dans la bouche. Une question me turlupinait, je finis par te la poser.
« Tu es venus cette nuit ? »
Ta réponse fut négative.
« Alors cela devait être un rêve. »
Tu me souris et me demanda si j’avais rêvé de toi. Ma réponse fut directe ce fut non. Mais je me rattrapit et affirma le contraire. Encore une fois je te mentais. Plus le temps passait et plus je me disais que je devais mettre un terme à tous ça. Encore cette nuit c’était de lui que j’avais rêvé. Tu avais beau lui ressembler comme deux gouttes d’eau et m’aimer de tout ton cœur tu ne le remplacerais jamais. Je pris mon courage à deux mains et bafouilla quelques mots.
« J’ai fait une erreur. On devrait arrêter avant que tu ne souffres davantage. »
Tu me regardas d’un air interrogatif ne comprenant pas le sens de mes paroles. Je t’avoua tout. Au plus je parlais au plus ton visage devenais triste mais tu ne versas pas une seule larme en ma présence. Je m’en voulais de plus en plus de t’avoir mentis pendant ces deux mois que nous avons passer ensemble. Mais mon cœur appartenait déjà à quelqu’un que je ne pourrais jamais oublier.
L’astre lunaire scintillait de milles feux de la même manière que le soir ou toi l’homme que j’aime tu m’as quitté.

» Histoire 2ème partie